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Dans un premier temps, confronté à des changements dans le comportement, dans le jugement et parfois au niveau de la désinhibition, on pense souvent à une dépression.
Aucune amélioration ne se manifestant à la suite d’un traitement prescrit par le médecin généraliste, il faut consulter un neurologue afin de pouvoir mettre un nom sur la maladie le plus rapidement possible.
Réussir à l’admettre est l’étape la plus importante et la plus douloureuse car il y a condamnation, il faut pouvoir l’assimiler afin d’y faire face.
Il y a des franchissements de paliers et des modifications qui s’installent insidieusement. Certains malades deviennent précocement indifférents à tout ce qui se passe autour d’eux, à leur présentation physique, à leur hygiène ou sont plus excessifs dans leur manière de s’exprimer et dans leur comportement relationnel.
Le malade peut-être gardé à domicile à condition de mettre en place toute une organisation faisant appel à des réseaux médicaux : neurologue, psychologue, médecin généraliste, orthophoniste, ergothérapeute, kinésithérapeute, infirmier.
Pour la protection de la personne malade et du conjoint, il existe le placement en institution : soit en cure, soit en long séjour. (voir la rubrique "Accueil en structure médicalisée")